La maison de Victor

J'arrivai en volant devant la maison. C'était une grande barraque, peinte en vert caca d'oie(beurk) et dont le toit ressemblait étrangement à une bulle.
-L'architecte devait être malade quand il a dessiné le plan. On dirait qu'il a vomi sur la façade et qu'il a tremblé quand il dessinait le toit et les fenêtres.
Personellement, je trouvais la maison hideuse. Enfin bon, chacun ses gouts. J'attendais Ellenwen sur le trotoir.
-Elle en prend du temps...

Ellenwen éclata de rire.

-On alors un troll a décidé de la peindre. C'est laid ! je te suis, encore.

Je marcha vers la porte et j'appuya sur la sonette, des bruits de pas arrivèrent à mes oreilles. Je recula et la porte s'ouvrit sur un majordome:
-Bonjour que puis-je pour vous ?
-Arrête de faire l'idiot Norbak. Je viens amené Ellewen au maître alors va lui dire que j'arrive.
-Il est très en colère contre toi tu sait.
-Ah bon ? Je trembla légèrement.
-Oui, il pense que tu as pris trop de temps à son goût. Mais bon, vu que tu es là je vais le prévenir.
Le majordome s'éclipsa.
-Crotte ! Je suis vraiment nul ! J'ai pris trop de temps ! Quel idiot ! Je bouyonnai de rage contre moi-même et contre mon maître. Qu'est ce qu'il est pas patient du tout celui-là !!

Ellenwen posa une main sur son bras.

-Je tacherais d'arranger ca, t'inquiète pas.

Puis elle s'avanca résolument.

Je la suivis. Nous arrivâmes dans une grande salle qui "ressemblait" à un salon. Il y avait là cinq fauteuils ainsi qu'une table basse.
-Assis toi. Je vais chercher à boire.
Je m'éclipsa laissant Ellenwen seul.

Ellenwen resta debout et regarda autour d'elle. Elle ne faisait pas confiance au magicien et chercha des yeux tout ce qui aurait pu lui indiquer un piège. Elle chercha également comment elle pourrait fuir si cela tournait mal. Elle s'inquiétait toujours pour Elrys. Elle attendit, droite et fière.

Victor regardait Ellenwen depuis un bon bout de temps. Il se décida enfin à sortir de l'ombre d'un coin.
-Bonjour très chère, je suis ravi de t'accueillir chez moi, dit-il d'une voix sombre, veux-tu quelque chose à manger ? N'essaye pas de t'échapper, je ne te veux aucun mal. Sa voix le trahissait et il le savait.

[hrpg: dsl je dois aller me coucher, je reviendrais]

(oki

bonne nuit !!!!)

Ellenwen sursauta violement et regarda l'homme. Il lui répugnait d'emblé.

-Vous mentez.

Elle le regarda dédaigneuse et s'assit pour lui montrer qu'elle ne chercherait pas à fuir. Elle continua d'une voix dure.

-Vous m'avez fait venir dans un piège. Je ne sais ce que vous me ferez... mais ce ne sera pas mon bien.

(merci !)

-Non, je ne vous ferez pas mal. Il me faut juste des informations...très précieuses. Et si vous me les donnez, je vous laisserais la vie sauve. Je vous le promet.
Il s'assit aussi et croisa ses mains attendant qu'elle réponde.

Elle bailla.

-Et que voulez vous savoir ?

Elle était dédaigneuse et moqueuse, il mentait.

(de rien fais de bo rêves ^^)

(toi aussi, pour plus tard)

-Et bien, que savez vous sur les rebelles... je crois que vous en connaissez un personnellement, je me trompe ?
Ses yeux noirs changeaient tous le temps d'angles, comme si il guettait le moindre mouvement suspect. Mais a part ses yeux, il restait calme.

-Non.

Ellenwen ne broncha pas. Son visage demeura impénétrable.

(c pour dans assez lgtps Razz

)

(oui je sais)

-Et bien alors ? Que savez vous ?
Il attendait sans broncher mais on voyait bien qu'il n'en pouvait plus.

Ellenwen rit durement.

-Rien.

(mais je sens uqe je vais bientôt arrêter l'ordi ^^)

-Je vous crois pas. Je sais que vous connaissez un rebelle et je peux vous faire parler... Alors ne m'ennervez pas et dites moi tout de suite ce que vous savez ! cria-t-il.
Il s'était levé pour parler, et il se rasséya encore plus calme que jamais.

(ah mince, ça a était un plaisir de parler avec toi)

Ellenwen resta assise, calme et impérturbable.

-Non.

(je reste jusqu'à ce que tu partes ^^)

-Bien, Norbak...
Norbak le majordome apparût à coté de lui. Il "tenait" à la main Modrak.
-Oui maître ? dit Norbak.
-Fais lui mal...
Norbak sortit de sa poche une plaque en argent et la plaqua sur le bras de Modrak.
-Aïïïïe !!!!!!!!!!! cria Modrak.
Il se débatit mais Norbak le tenaît très fort. L'essence de Modrak s'évaporait de plus en plus. Si il n'arrêtait pas, il allait le tuer !
-Alors ? demanda Victor.

(t'es pas obligée)

Ellenwen se leva blême de rage froide. Elle fit du pas envers le magicien et le giffla de toute ses forces. Elle aura voulu le tuer, Norbak aurait ainsi été délivré et n'aurait pas eu à torturer. Elle tremblait littéralement. Néanmoins elle ne fit rien, tuer lui répugnait.

-Arrêtez, gronda-t-elle. Torturez moi, mais pas lui !

(finalement je crois que je vais partir, mal à la tête, reste jusqu'à 10)

(ok)

Norbak avait arreté de torturer Modrak.
Le magicien se leva et sourit content de lui-même.
-Et bien je vois que Modrak a bien accomplis sa tâche. Il devait vous amené jusqu'a moi mais aussi vous liée d'amitié.
-Ne...le...crois pas, dit Modrak d'une toute petite voix qui exprimait la faiblesse.
-Norbak, continue.
Norbak abaissa encore une fois la plaque d'argent mais sur le buste cette fois.
Modrak hurla à mourir. (eumh...) Quand Norbak arrêta, il lâcha Modrak qui s'affaisa par terre et ne se releva plus.
-J'espère que vous parlerez maintenant, dit le magicien en souriant.

Ellenwen semblait à un félin prêt à bondir.

-Je me moque que ce soit très ordre ou non, mais c'est un être vivant et qu'il soit ami ou ennemi, je ne veux pas le voir souffrir. Je ne parlerais jamais, tu m'entendais, jamais, même si pour cela je dois mourir !

D'un bond elle ramassa le corp de Modrak courut et se lanca contre la fenêtre. Celle ci explosa. Elle protegea le corps du génie avec ses bras et s'enfuit dans le jardin. Elle savait qu'elle serait rattrapée. Aussi tenta-t-elle de réveiller le génie.

-Modrak, Modrak, réveillez vous, fuyez vite, je m'en sortirais, mais je ne peux rien faire si vous restez ici, fuyez !

(je vais y aller bisous)

[hrpg: ok moi j'y vais, j'écrirai la suite plus tard]

Victor sortit de la maison par la porte et avança vers Ellenwen, son visage était déformé par la fureur. Il avait une canne à la main. Modrak lui ne bougeait plus.
-Cet fois, j'ai perdu mon calme, dit le magicien.
Il prononça un mot et un rayon lumineux traversa la courte distance qui séparait les magiciens et toucha violemment Ellenwen au bras. Mais, heuresement, Ellenwen était encore vivante.

Ellenwen explosa de rage, ses yeux devinrent deux fentes, elle gronda sourdement. Elle fit demi tour, sans lâcher le grnome et se jeta sur le magicien. Celui ci tira à nouveau, elle se jeta au sol et roula sur elle-même pour se rétablir devant le magicien, il n'eut pas le temps de faire un geste. La jeune femme fela et planta ses ongles dans le visage du magicien et lui arracha la peau du visage. Elle lui cracha au visage et le fit reculer. Il buta contre un mur, elle sortit sa dague et la lui mit sous la gorge.

-Un mot un seul et tu es mort !

*Le ciel s'assombrit progressivement jusqu'a une couleur sombre, le vent se mit a forcir et décoiffait les deux combattants. Le gnome fut reveiller par le puissant éclair qui frappa le sol a quelques mètres à peine du gnome.
Du point d'impact apparu Elrys*

*le magicien semblait effaré était-ce par l'apparition soudaine du djinn ou du couteau que la magicienne tenait en main ?*

*Elrys était furieux et sa forme d'archange avait des allures plutôt démoniaque il semblait dans un état second et ne cherchait plus à dissimuler sa nature ésotérique*

Ellenwen avait beau être habituée à de telle démonstration de force, elle n'en déglutit pas moins difficilement pour autant. *Ami ou ennemi*songea-t-elle, ne reconnaissant pas Erlys sur le moment. Sa colère ravageuse revint. S'il fallait se battre elle se battrait mais elle en avait assez que tous se dresse sur son chemin pour la tuer. Elle ne désirait qu'une chose, que la paix revienne. Elle se dit que si le génie avait voulu lui faire mal il lui en aurait fait, elle s'occuperait de son cas plus tard. Elle se tourna vers le magicien. Elle lui dit d'une voix dure.

-Sache que si tu m'avais tué, ou si tu avais tué ce gnome, ce qui serait revenu au même étant donné que je me serais donné la mort, tu aurais signé ton propre acte de mort. J'aide les rebelles soit, mais je els empêche de vous exterminer comme les gros porcs malfaisants que vous êtes. J'espère que le néant entre vos deux oreilles pourra se remplir un jour car dans le cas contraire c'est votre mort que vous signez.

Elle lâcha le magicien qui s'affaissa et se tourna vers le génie, l'air déterminé. Elle n'avait pas eu le temps de le reconnaître, trop occupée à autre chose.

-Et bien ?

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